Lors de promenades en vélo, j’avais déjà observé à plusieurs reprises ce cerf de Virginie facilement reconnaissable au fait qu’il a deux cornes dissemblables. Farouche, il s’enfuyait des que je m’arrêtais pour faire une photo.
La dernière fois, à la tombée de la nuit, il broutait avec délice des branches hautes dans un arbuste.
Le sept août 2007, en promenant, je suis tombé par hasard nez à nez avec lui et je l’ai observé à moins de 15 mètres sans qu’il s’en aille. Je suis resté à l’observer, discret, sans bouger, faisant quelques photos sans qu’il soit indisposé par ma présence.

Cerf du Virginie qui broute des plantes aquatiques dans un petit ruisseau à 5 min à pied du Val à l’âne.