Fort-Coulonge se trouve à 12.6km par la piste cyclable du Val à l’âne.
Après avoir longé le Grand Marais, nous arrivons au bout de l’île du Grand-Calumet que l’on aperçoit de l’autre côté de la rivière.
Vous trouverez une aire de repos où à certaines saisons les insectes piqueurs sont légions.
Une petite halte et on repart.
Les mouches et moustiques de toute nature sont féroces et il faut ou se badigeonner d’insectifuge ou pédaler vite.
La piste traverse quelques bois. En été lors des chaleurs, c’est trés agréable de rouler à l’ombre.
Arrivés aux premières clairières, on trouve une aire de repos.
On aperçoit souvent par ici des dindons sauvages.
Puis quelques centaines de mètres plus loin, un ancien pont de chemin de fer enjambe une rivière sablonneuse aux eaux très claires.
Passé le pont, on entre dans la plaine de Vinton. La piste va traverser une zone où prairies et petits bois vont se succéder.
Petite halte gastronomique... dès que l’on sort du bois, il n’y a plus d’insectes et on peut se délasser et se gaver en toute quiétude
Plusieurs petits chemins de graviers coupent la piste.
La piste traverse des prairies en suivant une petite rivière. Si l’on est silencieux et discret, on peut apercevoir facilement des animaux.
Nous nous arrêtons pour observer l’impressionnant travail d’une famille de castors.
Le long du chemin, outre des fleurs magnifiques et des petits fruits sauvages, nous avons vu une multitude d’animaux tels que des hérons, des écureuils, des marmottes et pas mal de rapaces.
Nous arrivons au chemin Sloan
On tourne à droite pour aller au Val à l’âne
Pour répondre aux questions reçues, l’arbre à puce n’existe pas..., c’est une lamentable C...
Il s’agit de l’herbe à puce, une plante facile à reconnaître, voir ici pour plus d’infos : http://www.florelaurentienne.com/
Cette plante est commune en Amérique du Nord.
Autre lien : Apprenez à reconnaître l’herbe à puce !
Une petite côte et on arrive.
Le Val à l’âne a la chance unique d’être situé à la fois au bord de la rivière des Outaouais, de la piste cyclable et surtout dans un endroit sans moustiques et sans mouches piquantes.
Il n’y a pas d’autres endroits comparables dans la région. Le Paradis quoi !